1. Mise en place#

Première étape (télécharger GIT)#

Pour commencer il faut savoir que je suis sur Mac OS. J’ai donc dû commencer par télécharger un Package Manager. C’est-à-dire un logiciel qui me permet d’en télécharger d’autre en passant uniquement par une simple ligne de code au sein du Terminal de mon ordinateur. Ce logiciel dans mon cas (car il est possible d’en télécharger plein d’autres) se nomme (Home)Brew.

Le téléchargement de Brew se fait également au travers d’une ligne de commande (à encoder dans le Terminal) que voici :

/bin/bash -c "$(curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/Homebrew/install/HEAD/install.sh)"

Mon terminal me demande alors le mot de passe de mon ordi (qui ne s’affiche pas mais qui est bel bien écrit quand je le tape, bienvenue sur Mac) avant de confirmer l’installation de Brew. Une fois Brew bien installé, je peux tout simplement lui demander d’installer GIT au travers de la commande suivante :

brew install git

Le téléchargement prend alors une petite minute.

Deuxième étape (Créer ma clé SSH)#

Tout d’abord, c’est quoi une clé SSH? C’est une sorte mot de passe très complexe que je vais générer afin de faire en sorte que mon ordi et uniquement celui-ci soit reconnu lorsque je travaille avec les serveurs de Gitlab. Cela va permettre de sécuriser (entre autres) le transfert des données entre le serveur sur lequel ma page Fablab se trouve et mon ordi. Pour se faire il faut commencer par introduire la commande :

ssh-keygen -t ecdsa -C "exemple@ulb.be" -P ""

On obtient alors ceci

À la suite de cette commande, un dossier .shh sera créer sur votre ordinateur. Dans mon cas il n’était pas affiché (c’était une sorte de dossier fantôme) et j’ai dû fair CTRL + SHIFT + (.) afin de le faire apparaitre. Une fois le dossier trouvé après de nombreuses tentatives, je peux enfin ouvrir le fichier s’y trouvant qui m’intéresse. Un fichier nommé .ssh/id-ecdsa.pub au sein duquel se trouve ma fameuse clé.

Je copie (CTRL C) cette fameuse clé et vient la coller dans la partie « clé SSH » de mon compte GitLab en m’assurant qu’elle commence bien par les bons codes indiquer sur la page et je confirme la création de cette dernière.

Troisième étape (cloner une copie fonctionnelle de mon compte GIT)#

L’objectif de cette étape est de cloner un dépôt des fichiers, modifications, etc. (propre au projet bien sûr, le but n’est pas de cloner notre ordi) depuis notre ordinateur vers le serveur Gitlab. C’est une étape à faire une fois par module. Pour ce faire il faut aller sur la page Gitlab de mon profil et copier le lien à la suite de la commande git clone dans le Terminal comme suit :

git clone git@gitlab.com:fablab-ulb/enseignements/2023-2024/fabzero- experiments/students/charles.ackermans.git

Nous voilà arrivés au bout de la mise en place de notre compte GitLab. Nous utiliserons ce dernier afin d’enrichir continuellement la documentation des modules au travers lesquels nous passerons.

1.2 Comment aborder la charge de travail#

J’ai personellement toujours été en faveur d’un travail régulier et hebdomadaire afin de ne pas basculer entre productivité nulle et surcharge de travail.

Je me prévois toujours un moment au cours du weekend où j’organise ma semaine afin de décomposer ma charge de travail. Cela permet de décomposer cette charge en une somme de tâches plus facilement abordable. Cette somme de tâches peut ensuite être réaliser en parallèle si ces dernières sont trop conséquentes ou les unes à la suite de l’autre.

Je préconise l’utilisation d’un petit tableau blanc avec des marqueurs effaçables afin d’y noter les différentes choses à faire. Cela permettra d’offrir la satisfaction de barrer une tâche une fois que celle-ci est terminée et d’avoir un visuelle sur celles qu’ils faut encore finir ou commencer. Et lorsque le prochain weekend arrive, on réorganise la semaine suivante en effaçant ce qui peut l’être.

1.3 Les Indispensables#

Visual Studio Code#

C’est un logiciel d’édition de code (gratuit et open source) qui va te permettre (entre autres) de travailler sur ta documentation sans devoir passer par l’espace d’édition présent sur Gitlab. Cela te permettra de travailler hors ligne et sans les restrictions aussi bien visuelles que techniques qu’impose le site internet d’édition de code de Gitlab.

Il faudra cependant que tu synchronise ton évolution avec les serveurs de Gitlab afin que les modifications apportées en interne soit également présentes sur ton site par la suite. Pour ce faire je vais dans mon Terminal et demande d’aller vers le dossier au sein duquel je fais des modifications.

  • cd charles.ackermans me permet d’aller vers un élément voulu au sein de mon ordinateur. Dans ce cas-ci, mon dossier Fablab

J’utilise ensuite le code propre à Git, toujours au sein de mon Terminal.

  • git add -A va me permettre de mettre à jour les dossiers contenu sur mon ordinateur avec les éléments modifiés au travers de VSCode

  • git commit -m ”message quelconque” va enregistrer cette mise à jour en vue de la transférer vers le serveur

  • git push pour transférer nos modifications en vue de les mettre à jour sur Gitlab en fonction des pipelines programmées

  • git status pour savoir où nous en sommes en terme de fichier à enregistrer, à mettre à jour,…

Je me suis exercé avec le tutoriel présent dans le module « La base des bases » de Martin Gilles pour maitriser les bases de la documentation en Markdown

Inkscape#

C’est un logiciel de dessin vectoriel gratuit et open source. C’est-à-dire qu’il permet de créer ou de travailler des visuels (photo, dessin, graphique, etc.) à l’aide de vecteur et non de pixel. L’avantage est que la résolution, qui est excellente, sera toujours la même et cela peu importe qu’on soit entrain de zoomer à fond dans l’image ou qu’on l’observe de loin.

La quantité d’informations nécessaire pour décrire notre image est également nettement plus faible. Notre fichier .png (et non .jpg) ne doit pas stocker une matrice de pixel où chaque case contient trois données (une pour chaque couleur primaire) mais doit uniquement contenir le point de départ et d’arrivée des différents vecteurs composant l’image ainsi que les couleurs associés.

On peut également travailler/dessiner des surfaces en 2D qu’on viendra extruder en 3D par la suite sur des logiciels comme FreeCad par exemple.

Canva#

Je sais qu’il existe des moyens plus simples (Imagemagick, GIMP, etc.) de travailler des images mais le fait est que je prends un screenshot de chaque image destinée à cette page Fablab. Les screenshot pris par mon ordinateur sont d’office converti en format .png, beaucoup plus léger que les .jpg.

Si cela est vraiment nécessaire, il est possible d’utiliser une des fonctionnalités de Canva qui est de choisir le format du design voulu mais également le degré de compression (et donc de qualité et de poids) de l’image. Cela se fait comme suit :

  • Création d’un design de dimension personalisée ou modification d’une photo existante (cela dépend de votre objectif) en haut à droite de la page Canva

  • Une fois les modifications réalisées, on télécharge l’image en sélectionnant la compression et le format voulu.